Le brainstorming est une technique d’étude qualitative basée sur la créativité des participants et leur collaboration, utilisée notamment pour générer des solutions à des problématiques définies en amont. 

Cette activité, connue de tous, est bien trop souvent utilisée de manière imparfaite. Comment mettre en place une session de brainstorming optimale ?

Sur quels outils pouvez-vous vous appuyer ?

Courte histoire du brainstorming

Le brainstorming est une méthode de mise en relation d’idées, créée dans les années 1940 par Alex Osborn, un publicitaire américain. 

L’idée derrière le brainStorming vient du contexte militaire “To Storm a building” ou “Prendre le bâtiment d’assaut”.

L’exercice se fait sous forme commando, ce qui permet d’organiser l’exercice selon trois axes : 

  1. La collégialité : Le problème présenté est l’ennemi et toute l’équipe doit y faire face ensemble ;
  2. Sens de l’urgence : Il faut trouver des solutions rapidement ;
  3. Discipline : le respect de règles strictes pour le bon déroulement de la mission.

L’enjeu derrière la mise en place de ce processus de création était de trouver des moyens de promouvoir son agence auprès de ses clients et de ses prospects. 

Le contexte de création de cette méthodologie est important car elle rentre dans un contexte particulier : celui de la création et collaboration entre profils créatifs. 

De nos jours, le brainstorming est connu de tous et est utilisé pour répondre à des besoins divers, sans toujours adapter la bonne méthodologie de travail.

Le brainstorming est une technique d’étude qualitative basée sur la créativité des participants et leur collaboration, utilisée notamment pour générer des solutions à des problématiques définies en amont. 

Cette activité, connue de tous, est bien trop souvent utilisée de manière imparfaite. Comment mettre en place une session de brainstorming optimale ?

Sur quels outils pouvez-vous vous appuyer ?

Courte histoire du brainstorming

Le brainstorming est une méthode de mise en relation d’idées, créée dans les années 1940 par Alex Osborn, un publicitaire américain. 

L’idée derrière le brainStorming vient du contexte militaire “To Storm a building » ou “ prendre le bâtiment d’assaut”.

L’exercice se fait sous forme commando, ce qui permet d’organiser l’exercice selon trois axes : 

  1. La collégialité : Le problème présenté est l’ennemi et toute l’équipe doit y faire face ensemble ;
  2. Sens de l’urgence : Il faut trouver des solutions rapidement ;
  3. Discipline : le respect de règles strictes pour le bon déroulement de la mission.

L’enjeu derrière la mise en place de ce processus de création était de trouver des moyens de promouvoir son agence auprès de ses clients et de ses prospects. 

Le contexte de création de cette méthodologie est important car elle rentre dans un contexte particulier : celui de la création et collaboration entre profils créatifs. 

De nos jours, le brainstorming est connu de tous et est utilisé pour répondre à des besoins divers, sans toujours adapter la bonne méthodologie de travail.

Les outils d’accompagnement au brainstorming

Cette activité étant basée principalement sur le principe de créativité, il est nécessaire de trouver un moyen d’usage correspondant aux attentes des collaborateurs.

Il est possible d’utiliser des méthodes classiques telles que l’écriture sur papier ou l’utilisation de post-it. Il existe aujourd’hui de nombreux outils digitaux interactifs pour faciliter et dynamiser cette activité.

Par exemple, les outils de mindmapping, simples d’utilisation, tel que X-mind, permettent de capturer des idées, de clarifier la réflexion, de gérer des informations complexes et de promouvoir la collaboration en équipe.

L’objectif étant de mettre en commun des idées avec une participation active de chacun, il faut rester vigilant quand vous pratiquez cet exercice à distance (en ligne) pour éviter une attitude trop passive de certains participants.

Le document final peut être téléchargé puis envoyé mais plusieurs utilisateurs ne peuvent pas travailler ensemble sur un même document.

En présentiel

Pour des réunions “Brainstorming” en présentiel, chez Kawalearn, nous préconisons l’utilisation de tableaux numériques interactifs, tel que le Jamboard. Il s’agit de grands écrans plats interactifs qui permettent à nos équipes de collaborer en temps réel et d’enregistrer le résultat de nos travaux sur notre Drive commun. 

Ce tableau numérique interactif nous permet de travailler en groupe avec un support d’écriture et la possibilité de modifier, d’agrandir ou de déplacer les textes, d’ajouter des images directement depuis internet…

Chacun peut intervenir depuis son smartphone, tablette ou PC pour, par exemple, revenir en arrière, annuler, enregistrer des versions. Quand la séance de travail est terminée, le document finalisé peut être partagé par les collaborateurs concernés.

En distanciel

Des outils digitaux peuvent être utilisés pour un brainstorming à distance afin que les personnes concernées puissent accéder à un même espace de travail virtuel pour faire évoluer un document en commun. Le travail collaboratif est enregistré automatiquement et les collaborateurs peuvent y accéder quand ils le souhaitent.

  • Padlet : un outil collaboratif en ligne pour créer et partager des murs virtuels. C’est une sorte de version numérique du mur à post-it qui favorise le travail collaboratif. La plateforme est facile d’utilisation et très ludique. Une version gratuite est disponible.
  • Milanote : Un outil collaboratif similaire à Padlet, idéal pour les brainstorming entre professionnels créatifs (métiers du design par exemple). La plateforme intègre plusieurs types de fichiers et est très simple à utiliser. Une version gratuite est également disponible

Comment faire ?

Quelques règles d’or peuvent être établies dans le cadre de la mise en œuvre du brainstorming dans vos formations afin d’assurer la productivité et la créativité optimale de toutes les parties prenantes.

Étape 1 : Définir le problème

Pour une séance de brainstorming, il ne suffit pas de définir un sujet vague en s’attendant à ce que les apprenants développent des solutions.

Il faut définir une problématique claire, idéalement avec un contexte défini.

Étape 2 : Assurer le bon déroulement de l’activité

Le brainstorming doit être encadré et doit répondre à un certain nombre de règles afin d’assurer une participation équitable et respectueuse des uns et des autres. 

La personne chargée du bon déroulement devra prendre soin de noter la totalité des idées exprimées.

  • Ouverture d’esprit : Toutes les idées, logiques ou non, réalisables ou non, doivent être prises en compte dans le brainstorming afin de favoriser un maximum de créativité.
  • Respect : Au départ, la quantité l’emporte sur la qualité, aucune critique ne doit être émise lors de la séance de brainstorming qu’elle soit positive ou négative. Une critique négative peut ralentir ou même couper l’engouement des collaborateurs. De la même manière, une critique positive peut décourager les collaborateurs qui pourraient penser que “la” solution est trouvée et qu’il n’est plus nécessaire de chercher.
  • Rebondir/Associer/Développer les idées : L’idée est de rebondir sur l’idée qui vient d’être partagée et de développer la pensée de la personne précédente. 
  • Quantité : Le but de cet exercice est d’obtenir un maximum d’idées et de solutions au problème de départ, avec la possibilité de réorganiser et de trier les idées en aval.

Étape 3 : Assembler les idées

Pour que le brainstorming aboutisse à un plan d’action, les idées exprimées lors de l’activité doivent être rassemblées et ordonnées de manière logique de façon à répondre au mieux à la problématique de départ.

La collégialité reste encore essentielle car chaque collaborateur participe à cette phase de réflexion.

Conclusion

Le brainstorming est une activité ludique et créative qui permet de responsabiliser et de valoriser les parties prenantes au cours de la formation. 

Il est possible d’organiser ces périodes de réflexion en présentiel ou à distance, de façon synchrone ou asynchrone, sur papier ou en ligne dépendant des besoins et des aisances de chacun.  

Il faut garder à l’esprit que toutes les idées sont bonnes à prendre et qu’il ne faut pas juger ou critiquer ses idées et celles des autres.

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